top of page

Enquêtes

Enquête :Voix des femmes 1

Perception et Impact psychologique d’un frottis anormal : soutien et information en France

La disponibilité de l’information sur le HPV et le test Pap s’est accrue de façon spectaculaire avec l’introduction de programmes nationaux de vaccination. Mais les données sur l’efficacité de cette information sont limitées. Or, notre souhait est de réduire l’anxiété des patientes et de favoriser une meilleure délivrance de l’information. C’est pourquoi une étude de cohorte fondée sur un questionnaire a été réalisée afin d’enquêter sur l’expérience des femmes à l’annonce d’un résultat de frottis anormal, puis les événements qui en découlent, ainsi que sur la prise en charge de leur praticien. Cet article se focalise sur l’expérience française qu’il étaie de données comparatives avec l’Espagne et le Portugal. Il en ressort que, face à des réactions de stress et d’anxiété, le niveau d’information venant du corps médical est ressenti comme encore insuffisant, tandis que la pratique d’Internet comme source d’information a ses limites et ses dangers. L’entourage, lui, est très présent, ce qui corrobore la nécessité d’une meilleure information du public. Enfin, l’uniformité et uniformisation des stratégies d’information n’est pas encore à l’heure européenne.

Enquête :Voix des femmes 0

WACC International

Le cancer du col de l’utérus ainsi que d’autres cancers génitaux sont provoquées par des infections génitales répandues associées au papillomavirus humain (PHV). Ces infections peuvent en effet entraîner des lésions susceptibles d’évoluer vers un cancer invasif. 

70% des femmes qui sont en âge d’avoir des enfants sont exposées au infections à PHV, pour la plupart naturellement éliminées par le système immunitaire. En revanche une femme sur cinq souffrira d’une infection durable, risquant de développer des lésions génitales ou des lésions précancéreuses du col de l’utérus.

Ainsi, chaque année, environ un demi-million de femmes dans le monde sont diagnostiquées avec un cancer du col de l’utérus et plus de 280,000 mourront de la maladie. 

Mais les maladies du col de l’utérus ne sont pas une fatalité: les cancers du col de l’utérus peuvent largement être évités grâce à la vaccination PHV et à un dépistage précoce.

Les programmes de dépistage, accessibles aux femmes sexuellement actives, permettent le dépistage précoce et le traitement des lésions précancéreuses, empêchant leur évolution vers un cancer invasif. Les vaccins contre les Papillomavirus Humains (PHV) permettent de prévenir les lésions cervicales dangereuses et le cancer, causés par les PHV de type 16 et 18. Ces vaccins protègent les femmes contre ces infections et ces lésions dangereuses, dès l’âge de 9 ans.

Date de dernière mise à jour : mercredi, 24 février 2016

bottom of page